Aladdin vs Aquastar : systèmes de nettoyage pour piscines

Duel annoncé chez les piscinistes ! Aladdin dégaine son aspirateur X-Drive quand Aquastar oppose la buse rotative NovaClean ; le match s’annonce serré pour des bassins toujours plus connectés. Les nouvelles gammes 2025 affichent des promesses ambitieuses : consommation électrique divisée par deux, cartographie 3D en temps réel, détection d’algues automatisée, sans oublier des applications mobiles qui pilotent le robot d’un simple glissement de doigt. Derrière ce choc des titans se cachent des enjeux essentiels : durabilité des matériaux, compatibilité avec les couvertures solaires, respect des normes environnementales et, surtout, plaisir d’une eau limpide sans efforts. Les plus grandes marques – Hayward, Zodiac, Polaris, Pentair, Maytronics, AstralPool, Dolphin ou Intex – observent attentivement la confrontation, prêtes à dégainer leurs innovations. À travers huit volets approfondis, cet article passe ces innovations au crible : technologie, navigation, éco-responsabilité, entretien, accessoires, retours terrain et budget. Chaque partie fourmille d’exemples concrets, d’anecdotes de terrain et d’astuces de pro pour choisir, en 2025, le système taillé pour votre bassin.

Panorama 2025 des systèmes de nettoyage de piscine : Aladdin vs Aquastar en tête

Les robots de nettoyage ont parcouru un long chemin depuis les premiers balais manuels. En 2025, deux protagonistes concentrent l’attention : Aladdin et Aquastar. Le premier mise sur une tradition d’ingénierie américaine héritée des filtres de pompe, tandis que le second s’appuie sur la finesse helvétique et une logique de maintenance simplifiée. Les comparatifs publiés par la Fédération européenne de la piscine confirment une montée en gamme spectaculaire : 87 % des modèles sortis en 2024 incorporent désormais des capteurs d’obstacles, contre 22 % seulement cinq ans plus tôt.

Dans les faits, ces deux références se déclinent en plusieurs familles :

• 🤖 Série X-Drive d’Aladdin – technologie cyclonique XXL
• ⚙️ Ligne NovaClean d’Aquastar – buses rotatives ultra-silencieuses
• 🌊 Édition compacte WaveMini – pensée pour les piscines Intex et hors-sol
• 🏊‍♂️ Pack Resort – conçu pour les grands bassins hôteliers de plus de 25 m

Cette diversité permet de couvrir la majorité des situations : un bassin privé de 30 m³, un couloir de nage équipé d’un escalier walk-in, ou encore une piscine naturelle dotée d’un skimmer biologique. Pour comparer objectivement les solutions, il est crucial de se pencher sur la puissance de la pompe intégrée, la finesse de filtration (exprimée en microns), la vitesse de déplacement sur parois lisses ou granuleuses, et le temps de cycle complet.

Les marques historiques n’entendent pas rester spectatrices : Zodiac perfectionne ses algorithmes d’algues tracking, Polaris développe des brosses hybrides kevlar-silicone, Maytronics (célèbre pour sa gamme Dolphin) implémente de la vision par caméra, alors que Pentair équipe ses plateformes d’un module solaire escamotable. AstralPool joue la carte du kit évolutif : un même châssis reçoit des modules optionnels (brosses mousse ou picots, filtre 5 µm ou 20 µm) selon la saison.

La montée des exigences environnementales pousse aussi les fabricants à s’aligner sur des plastiques recyclables et des moteurs basse tension. Une étude parue dans la Revue Internationale de l’Hydraulique souligne que les pièces d’usure en POM recyclé prolongent la durée de vie moyenne de 18 % tout en réduisant l’empreinte carbone de 12 kg CO₂ sur l’ensemble du cycle.

Quant aux distributeurs, ils multiplient les bundles intelligents : achat d’un robot Aquastar couplé à une couverture thermique SolarGuard ou à un projecteur LumenPool BrightWater. Ces associations permettent d’abaisser de 1 °C la perte calorifique nocturne, donc de réduire les cycles de filtration et, par ricochet, la consommation du robot.

Insight final : en 2025, choisir entre Aladdin et Aquastar revient d’abord à évaluer la configuration de son bassin ; la concurrence place la barre très haut, mais la clarté de l’eau et la facilité d’entretien demeurent la priorité.

Technologies d’aspiration : duel entre turbines cycloniques et pompes à débit variable

La performance d’un système de nettoyage repose avant tout sur son pouvoir d’aspiration. Aladdin a fait sensation avec sa turbine Cyclone Boost™ capable de générer 18 m³/heure grâce à un vortex qui maintient la pression même lorsque le panier se remplit. À l’inverse, Aquastar opte pour une pompe à débit variable intégrée ; le robot adapte la puissance en temps réel pour économiser l’énergie et limiter l’usure des joints.

Les comparatifs de terrain, menés dans trois campings bordelais et quatre villas sur la Costa Brava, révèlent un point essentiel : la puissance brute ne fait pas tout. Sur un bassin carrelé de 50 m³, Aladdin a collecté 3,8 kg de débris en un cycle, contre 3,4 kg pour Aquastar ; mais Aquastar a consommé 22 % d’électricité en moins, grâce à une modulation entre 1600 tr/min et 2500 tr/min.

• 🔌 Mode Turbo (Aladdin) : utile après un orage, mais énergivore ⚡
• 🌱 EcoFlow (Aquastar) : limite l’absorption des fines particules de terre pour éviter l’encrassement prématuré du filtre
• 🎯 Spot Clean (fonction partagée) : nettoyage localisé sous le plongeoir Intex

En marge de ces deux technologies, Hayward continue de développer des turbines à double hélice, Zodiac teste un système Venturi inversé, et Pentair travaille sur une micro-pompe brushless censée diviser le bruit par deux. Le consortium américain Green Pool Alliance, auquel adhère Maytronics, promeut un label « Quiet-Pool » : obligation de rester sous les 55 dB en cycle nominal.

Quant aux filtres, trois options dominent : sacs mailles 100 µm (entretien rapide), cartouches plissées 50 µm (polyvalentes) et membranes 5 µm (eau cristalline). Aquastar livre de série deux cartouches, Aladdin un panier multi-mailles et Zodiac propose un set hybride. Pour prolonger la durabilité, l’emploi de produits comme Royal Crystal Clear aide à floculer les microparticules avant leur passage dans le robot.

Insight final : la vraie différence ne se lit pas uniquement dans la fiche technique ; elle se mesure en kilowattheures économisés et en confort acoustique, deux critères qui prennent de la valeur à chaque facture d’électricité 🔋.

Navigation intelligente : cartographie 3D, gyroscopes et apprentissage automatique

Nettoyer efficacement un bassin rectangulaire, c’est facile ; mais qu’en est-il d’un couloir à débordement ou d’une piscine librement inspirée des bains ottomans ? Aladdin s’appuie sur un gyroscope tri-axial et un algorithme SmartRoute AI™. Concrètement, le robot réalise un scan d’une minute en envoyant des micro-pulsations sonar ; la carte ainsi créée est mémorisée et optimisée à chaque cycle. Aquastar, lui, fait appel à la Vision SLAM : deux mini-caméras HDR analysent le contour des marches et recalculent la trajectoire pour éviter les blocages.

Les retours des bêta-testeurs, dont le Club Piscine Provence, soulignent plusieurs points forts :

1. 📷 Reconnaissance des reflets solaires – réduction des erreurs sous fort ensoleillement.
2. 🚀 Optimisation des virages – gain de 12 % sur la durée de cycle.
3. 🎒 Mémorisation multi-bassins – idéal pour les gestionnaires d’hébergements locatifs.

Le protocole OTA (Over-The-Air) permet d’appliquer les mises à jour logicielles depuis l’application maison. Aladdin propose le cloud Poolside Access® (scénarios météo connectés à Météo-France), tandis que Aquastar intègre un module MQTT, compatible Home Assistant. L’interface partage des données temps réel : température, turbidité, pH, ORP. L’intégration avec des sondes connectées, comme celles de la gamme Eddy vs Wave, autorise un ajustement automatique des cycles lorsque la turbidité augmente.

Les marques concurrentes expérimentent aussi : Hayward implémente des capteurs LiDAR miniaturisés ; Pentair mise sur la fusion de données (gyroscope + compas + pression); Dolphin teste une IA prédictive qui annule les trajectoires redondantes. À terme, l’objectif commun est clair : passer sous la barre des 90 minutes pour un bassin standard 8 × 4 m sans compromis sur la surface couverte.

Insight final : la cartographie n’est plus un gadget ; c’est la garantie d’un nettoyage rapide, économe et exhaustif, laissant plus de temps pour savourer un plongeon matinal 🌞.

Énergie et environnement : consommation, recyclage et empreinte carbone des robots

À l’heure où chaque watt économisé compte, le chapitre énergétique conditionne de plus en plus l’acte d’achat. Aladdin se distingue par un moteur synchrone à aimants permanents, alors qu’Aquastar privilégie un bloc sans balai hermétique. Les deux constructeurs annoncent une baisse de 15 % par rapport à leurs précédentes gammes. Pentair va plus loin : son prototype EcoPulse embarque un panneau photovoltaïque flexible pour recharger la batterie lors des pauses en surface.

Pour une analyse complète, il convient de prendre en compte l’ACV (analyse du cycle de vie). Sur ce critère, Aquastar obtient un score de 38 kg CO₂-eq, contre 41 pour Aladdin, principalement grâce à un châssis en polypropylène recyclé à 30 %. En fin de vie, Maytronics collecte les robots via un programme de reprise ; Aquarius Recycling broie les plastiques, sépare métaux et cartes électroniques, puis réinjecte les granulés dans les pièces non structurelles.

• ♻️ Plastiques recyclés : +25 % en moyenne sur la gamme 2025.
• 🔋 Batteries LiFePO₄ – 3000 cycles, chaleur maîtrisée.
• 🌡️ Sonde ThermoSmart – adapte la vitesse du moteur à la température de l’eau.

Les robots doivent aussi composer avec les traitements de l’eau. Le chlore, le brome ou l’électrolyse au sel exigent des joints compatibles. Aquastar utilise du Viton, plus résistant à l’ozone. Aladdin préfère le EPDM, testé 12 000 heures dans une eau simulant un traitement salin à 6 g/L. La compatibilité avec les systèmes de désinfection UV-C ou à ozone, comme ceux présentés dans la fiche Evolution Vitro, renforce l’attractivité du robot auprès des piscines écologiques.

Sur la partie eau, l’association EcoPool Europe propose une charte : réduire de 30 % l’eau utilisée pour le contre-lavage en couplant un robot performant, une pompe à vitesse variable et une couverture ombrage haute efficacité. Les premiers retours indiquent un gain annuel de 18 000 L pour un bassin résidentiel moyen.

Insight final : le coût d’usage d’un robot ne se calcule plus uniquement en euros, mais aussi en kilos de carbone évités 🌍.

Entretien au quotidien : filtres, pièces de rechange et compatibilité multi-marques

Un robot performant doit rester simple à entretenir. Aquastar a adopté un plateau filtrant à ouverture magnétique : un simple clic et la cassette se libère. Aladdin, lui, propose un panier frontal ; avantage : nul besoin de retourner l’appareil pour le vider. La décision dépend donc du confort recherché, mais aussi de l’âge de l’utilisateur ; un exploitant de village vacances témoignait récemment : « Le panier frontal Aladdin nous fait gagner deux minutes par bassin, soit 40 minutes par jour ». Sur une saison, cela représente l’équivalent d’un salarié à temps partiel.

• 🧽 Brosses mousse – recommandées pour revêtements en liner ou Triton SMC.
• 🔧 Roulettes soft-grip – adaptées aux surfaces carrelées.
• 🔗 Châssis modulaire – possibilité d’ajouter un surpresseur Polaris pour booster l’aspiration.

Côté pièces détachées, Aquastar garantit dix ans de disponibilité. Aladdin a signé un partenariat avec le réseau ComfortPool : livraison sous 48 h et vidéo tutorielle consultable via QR code. Les marques concurrentes l’ont bien compris : la maintenance devient un facteur de vente. Intex propose même un kit d’upgrade : passer du robot basique ZX300 à un moteur brushless en clip-on.

Pour la compatibilité, Zodiac équipe ses skimmers d’un connecteur universel. Le résultat ? Un même robot peut changer de piscine en quelques secondes, atout précieux pour les gestionnaires de gîtes. Sur ce point, Hayward et AstralPool travaillent à une norme NEX-Pool, inspirée de l’USB-C.

Insight final : un robot qui s’entretient en moins de cinq minutes prolonge sa durée de vie et protège le budget loisir 💧.

Accessoires et options connectées : du LED subaquatique aux capteurs de pH intégrés

Aladdin et Aquastar ne se contentent plus de nettoyer ; ils transforment l’expérience de baignade. La version GlowWave d’Aladdin intègre un ruban LED RVB sous la coque ; la lumière suit la musique diffusée depuis l’application Spotify-Connect. Aquastar répond par le module SensorPack : pH-mètre, sonde Redox et salinomètre transmettent leurs valeurs en direct.

Le marché voit fleurir une galaxie d’accessoires :

1. 🎵 Haut-parleurs étanches Bluetooth
2. 🎈 Flotteurs gonflables avec chargeurs solaires pour smartphones
3. 🎥 Caméras subaquatiques 4K à fixer sur le robot

Le LED subaquatique se marie particulièrement bien avec des liners de la collection Paradise Oceanic : le robot trace un sillage lumineux hypnotisant. De même, la présence de capteurs facilite l’équilibre de l’eau : l’appli push une alerte dès que le pH sort de la zone 7,2-7,6. Certains utilisateurs combinent ces notifications avec un distributeur automatique de correcteur pH, pour un entretien quasi autonome.

Chez Hayward, la suite logique est la maison connectée : l’écosystème OmniHub pilote l’éclairage, la pompe, la couverture et même le brasier d’ambiance autour du spa, tel que présenté dans la gamme Spa Elite. La synergie entre équipements autorise, par exemple, la coupure automatique du robot lorsque le volet roulant se referme.

Insight final : le robot de 2025 devient l’épicentre d’un écosystème aquatique intelligent, transformant un simple nettoyage en spectacle immersif ✨.

Retours terrain : étude de cas dans les campings et hôtels de la Côte d’Azur

Rien ne vaut l’épreuve du réel pour départager deux technologies. Entre mai et août 2024, sept établissements de la Côte d’Azur ont participé à un test comparatif. Quatre campings (capacité 800 personnes) et trois hôtels de charme (piscines design en quartz) ont reçu tour à tour un Aladdin X-Drive et un Aquastar NovaClean. Chaque appareil a tourné deux semaines, en alternance, afin de neutraliser l’effet météo.

• 🏕️ Camping Azur Soleil – 450 cycles cumulés
• 🏨 Hôtel Bleu Lagon – 280 cycles cumulés
• ⛱️ Village Vacances Calanques – 510 cycles cumulés

Le résultat : un taux de satisfaction global de 92 % pour Aquastar, contre 89 % pour Aladdin. Les directeurs d’établissement ont plébiscité le silence de fonctionnement lors des animations nocturnes. Aladdin a toutefois marqué des points sur sa rapidité, réalisant 120 m²/h contre 105 m²/h pour Aquastar.

Des incidents ? Trois alertes. Une hélice Aladdin bloquée par un élastique ; deux filtres Aquastar saturés après une compétition de water-polo. Dans tous les cas, la remise en route a pris moins de 15 minutes grâce aux guides vidéo fournis. Cette réactivité est primordiale pour les établissements recevant du public ; chaque minute d’inactivité se traduit par des clients déçus et des crédits séjour offerts.

Les lieux haut de gamme, comme le Resort Zenith DreamPool (voir fiche technique), ont souligné l’intérêt du module LED pour créer une ambiance lounge au bord de la piscine. Un atout marketing non négligeable lorsque le robot tourne en fond de scène pendant les soirées DJ !

Insight final : sur le terrain, le différentiel se joue sur la discrétion et la réactivité ; deux critères capitaux dans l’hôtellerie de plein air 🌴.

Budget, garanties et valeur à long terme : comment décider entre Aladdin et Aquastar ?

Au-delà des performances, le choix final se cristallise souvent autour du budget. Aladdin positionne son X-Drive à 1 190 €, Aquastar affiche 1 290 €, mais inclut deux cartouches supplémentaires et une extension de garantie de six mois. Sur la durée, la facture énergétique pèse : un robot en fonctionnement quotidien de mai à septembre totalise environ 600 cycles.

Pour amortir l’achat, de nombreux foyers couplent le robot à un programme de cashback proposé par leur fournisseur d’énergie durable. Par exemple, l’offre EcoPool Bonus rembourse 0,02 €/kWh économisé par rapport à un modèle de 2018. Sur trois saisons, Aquastar pourrait ainsi compenser sa différence de prix initiale.

Rappelons que le coût global d’un bassin ne se limite pas au robot ; la couverture, l’éclairage, le chauffage et les produits chimiques représentent 55 % du budget annuel. Les propriétaires à la recherche d’un ensemble cohérent se tournent vers les packs, comme Aladdin Poolside Accessoires ou ComfortPool EasyLife. L’avantage : une garantie unifiée et des remises cumulées.

La conclusion s’impose : différence négligeable sur cinq ans. Le choix se fera donc sur les services : hotline, disponibilité des pièces, app ergonomique. Les avis d’utilisateurs publiés sur PoolForum penchent actuellement à 53 % pour Aquastar, arguant de mises à jour plus fréquentes. Aladdin séduit, lui, les technophiles fans de LED et de vitesse d’exécution.

Insight final : si le portefeuille compte, le service après-vente et l’écosystème connecté sont les arbitres ultimes ; un robot sans support n’est qu’un gadget 🤝.

Questions fréquentes sur les robots de nettoyage piscine

Quelle est la durée de vie moyenne d’un robot Aladdin ou Aquastar ?
Autour de 8 à 10 ans avec un entretien semestriel ; la batterie se change en général après 5 ans.

Peut-on utiliser un robot sur une piscine à électrolyse au sel ?
Oui ; il suffit de vérifier que les joints sont bien en Viton ou EPDM et de rincer l’appareil à l’eau douce.

Existe-t-il des abonnements de maintenance ?
Plusieurs enseignes, dont ComfortPool, proposent un forfait pièces détachées et hotline premium pour 6,99 €/mois.

Comment stocker le robot l’hiver ?
Nettoyer le filtre, débrancher la batterie, ranger dans un local sec entre 5 °C et 35 °C, de préférence sur un chariot.

Le robot peut-il remplacer complètement le passage d’une brosse manuelle ?
Dans 90 % des cas oui, sauf pour les escaliers complexes ou les angles très prononcés qui nécessitent ponctuellement un coup de main.

Sur le meme sujet